Le Café des Vallées

Au sein du programme musical, de l'internationalisme, du féminisme, et même des féminismes,  de la poésie, et même pas mal, des langues étrangères et familières, des musiques politiques emblématiques comme le maloya, le rap, ou la chanson historique grecque, et puis de l'histoire ouvrière et syndicale en filigrane ou en grosses lettres. Des invité-e-s des villes, de Barcelone, de Marseille, de Paris, de Toulouse et des invité-e-s des champs. Cette année une astuce de traductions est en cours d'invention...

 

S'ajoutent à cela, des ateliers d'histoire sociale chantée, celui d'Anouk sur les Chansons pendant la guerre et la résistance. Peut-être un sur le Kaneka, si l'intervenant n'est pas trop occupé à militer, musique politique Kanaque, seul style de musique au monde inventé pour un mouvement de libération.

 

Le repas, avec ses patates semées pour la fête devenant frites en août, la bière produite près de la neste, le vin du dernier producteur commingeois car les vignes elles courent dans la forêt, ou le soutien de la biocoop saint-gaudinoise dont des membres sont engagés dans les bâtisseurs.euses de la fête.

 

Les stands se multiplient également, cette année, on y entendra causer contre l'extrême droite, les gravières, l'emprise du photovoltaïque, les coupes rases des forêts publiques pyrénéennes, de droits des femmes, des queers, d'antiracisme, de mémoire des chemins de liberté.. Autant de collectifs, coordinations, associations qui luttent dans les Pyrénées et ailleurs, et parfois en chansons. En particulier, le collectif Comminges Palestine Solidarité et le collectif Solidarité Kanaky seront présents.

 

Et puis l'espace enfant qui grandit, grâce à la camarade Yaya Tolosa.